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Wednesday 14th october 2009

Textes et photos © Jack Harris

Après avoir visité les ruines, nous empruntâmes un petit pont de bois et c'est alors que commença une folle équipée pédestre qui nous mena jusqu'à Upper Lake.

 

Pour y parvenir nous pûmes jouir  de la paix et du silence durant tout le trajet à travers bois qui longeait un premier lac avant de parvenir enfin sur la rive d'Upper Lake.

 

Les photos suivantes permettent de se faire une idée de cette longue promenade.

Pour parvenir sur la rive d'Upper Lake, nous devions  avant tout longer le chemin qui suivait la rive de ce plan d'eau et ce, jusqu'à ce que nous ayons quitté celui-ci .

Nous sommes enfin parvenus sur la rive d'Upper Lake où les canards vinrent pour nous féliciter.

 

Hélas, nous n'avions pas vu passer le temps et nous dûmes désormais faire le chemin inverse au pas de course pour parvenir dans les délais impartis par le chauffeur du car.

 

Nous arrivâmes deux minutes avant l'heure fixée mais je me retrouvais avec les pieds en sang à cause des ampoules qui avaient crevées.

La dernière étape eut lieu à Avoca où il nous fut donné l'occasion de visiter la filature, ainsi que d'effectuer quelques achats à la boutique de la fabrique.

 

L'intérêt de cette filature résulte dans le fait qu'elle utilise des métiers modernes  tout en oeuvrant également avec de vieux métiers selon les méthodes ancestrales.

Je garde un souvenir impérissable de ce charmant petit couple, souriant  comme le furent la presque totalité des personnes que nous avons croisées.

 

Notre excursion se terminait et nous étions encore plus fatigués que lors de notre voyage dans le Connemara, en raison des longs parcours pédestres que nous avions effectués. Mes pieds me faisaient tellement souffir que je marchais d'une drôle de façon.

 

Lorsque notre bus rallia Dublin, il nous déposa à la station Trinity College. Nous avions encore un bon quart d'heure de marche pour rejoindre le DART sans oublier le trajet, certes plus court, qu'il nous faudrait parcourir pour rejoindre le Kingston Hotel.

 

Une heure plus tard, Audrey-Parme et moi-même, étions chacun assis sur le bord de la baignoire de notre chambre, faisant trempette dans l'eau froide pour soulager nos pieds.

 

Le repas du soir eut lieu au restaurant de l'hôtel, puis chacun regagna son lit pour profiter d'un bon sommeil réparateur.

 

 

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