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Quelques extraits d'ouvrages - 6

 

Quelques pensées de Jack Harris

 

* Les dragons ont disparus de la surface de la planète car ils ont pris peur en voyant que les hommes créaient le corps des pompiers.

 

* L’ébriété commence par des chansons pour terminer au violon.

 

* Les éboueurs !... Voilà une catégorie professionnelle qui exerce très mal son travail puisque après le passage des éboueurs les politiciens traînent encore dans les rues.

 

* Dans les ébats amoureux les femmes ont toujours le dessus car lorsque les hommes en parlent ils disent à chaque fois qu’ils sont sur les genoux.

 

* Lorsque l’on n’est qu’un simple pion il faut se méfier des fous qui servent le roi.

 

* Les écoles sont des lieux de perdition puisque ce sont des endroits où l’on y trouve la plus grande concentration de maîtresses.

 

* On prétend qu’avoir une belle écriture c’est l’art des ânes ; les ânes sont donc moins bêtes que les hommes puisque s’ils savent écrire ils ne sont pas analphabètes.

 

* L’éducation pour les humains est ce qui correspond au dressage pour les animaux.

 

* L’égalité est un principe qui n’existe qu’en mathématiques.

 

* Hormis la question de salaire, il n’y a que peu de différence entre les égoutiers et les politiciens puisqu’ils pataugent tous dans la merde.

 

* L’élévation sur l’échelle sociale ne représente pas nécessairement une élévation de la valeur de l’individu, car nombreux sont ceux qui s’élèvent socialement en s’abaissant moralement.

 

* Il faut reconnaître le don qu’ont les femmes pour nous embraser le cœur avant d’éteindre notre feu.

 

* L’ENA est la seule école, sur le territoire français, qui soit spécialisée dans l’apprentissage de la langue de bois.

 

* Les seules personnes qui ont la certitude de ne jamais aller en enfer sont les pompiers car le diable, en les amenant chez lui, aurait trop peur qu’ils éteignent le feu.

 

* L’enfer c’est chaud, très chaud, trop chaud, mais qu’est-ce qu’on doit en manger des grillades!...

 

* Les gens ennuyeux sont comme les rasoirs émoussés, puisqu’ils rasent mais ne coupent pas.

 

* Les gens envahissants sont comme les morpions, lorsqu’ils s’accrochent à vous il devient très difficile de s’en débarrasser.

 

* L’enfer c’est la fosse d’aisance dans laquelle sont jetées les âmes qui ont flirté avec les petits diables.

 

* Les éponges gonflent lorsque nous les mettons dans l’eau, mais les noyés, ils font exactement pareil !...

 

* Entre les requins, les loups, les maquereaux, et... que sais-je encore!... notre humanité peut se montrer fière de ses espèces.

 

* Les étoiles dorment le jour car elles travaillent de nuit à l’éclairage du firmament.

 

* La fidélité !... parlez-en à un chien mais jamais à un homme.

 

* Les femmes sont comparables aux fleurs, elles ont horreur de se flétrir

 

* Il n’y a que les fleuves pour être assez malins de manière à mener les hommes en bateaux sans qu’ils cherchent à se venger.

 

* Il est des femmes qui ont la poitrine si généreuse que l’on pourrait éprouver l’envie de les traire.

 

* Le goupillon n’est rien d’autre que la baguette magique des curés.

 

* Les êtres humains se font la guerre sans doute parce qu’ils estiment que les maladies ne font pas assez de ravages.

 

* Tout imbécile qui se respecte est un intelligent qui s’ignore.

 

* Les lits entendent tellement d’indiscrétions qu’ils finissent parfois par craquer.

 

* L’ingratitude consiste à devenir plus riche que celui qui vous a mis le pied à l’étrier, afin de parvenir à le couler.

 

* Les civils jouissent en faisant "la!... la !... la !... encore !..." tandis que les militaires jouissent en faisant "boum !... boum !... boum !... encore!...".

 

* Il est des langues qui sont tellement baveuses que l’on croirait des serpillières.

 

* Si le levain fait lever la pâte, les miches, quant à elles, font lever les baguettes.

 

* Le libertin est en amour ce qu’un gourmand représente lorsqu’il est lâché dans une pâtisserie.

 

* Les limaces ne sont rien d’autre que des escargots privés de logement, des gastéropodes SDF quoi !...

 

* Point n’est besoin d’avoir les palmes académiques pour savoir nager.

 

* Les livres !... c’est exactement pareil que la lingerie de maison. On y trouve aussi bien des torchons que des serviettes.

 

* Les maladies d’amour sont les plus belles car elles peuvent être chantées.

 

* Les étoiles sont les diamants du ciel.

 

* Lorsqu'un cochon est amoureux l'on dit de lui qu'il en pince un groin.

 

* L'Humanité !... cette grande espèce qui grouille de vermines.

Autres pensées de Jack

 

* On prétend que l’univers est sans limite mais on se garde bien de parler de la connerie humaine.

 

* Les lucioles sont les lanternes magiques des elfes.

 

* Les luettes vibrent dans les palais comme les carillons dans les églises. Les luettes sont des cloches de palais.

 

* Les Misérables !... depuis Victor Hugo c’est fou le nombre de petits qu’ils ont produits

 

* Il faut de tout pour faire un monde, surtout des imbéciles.

 

* L’homme est un géant par sa créativité, mais un minuscule nain par son peu de sagesse

 

* Les nénuphars ne poussent pas dans les bénitiers car les grenouilles y sont trop grosses.

 

* En littérature, les nègres sont des paillassons sur lesquels des incapables s’essuient les pieds.

 

* L’homme est ridicule dans la nudité, stupide dans les positions de l’amour, effrayant dans un uniforme militaire.

 

* Chez l’homme, l’âge est considéré comme étant un gage de savoir et d’épanouissement; par contre, chez la femme, il est ressenti comme un signe de décrépitude.

 

* L’amour est un perpétuel combat au corps à corps.

 

* L’anatomie!... Ce n’est qu’un squelette muni de ses accessoires!...

 

* En amour, le baiser n’est rien d’autre qu’un amuse-gueule.

 

* Le bar, ce lieu dans lequel on porte la flûte à ses lèvres avant de se retrouver au violon.

 

* Le barbelé est un fil destiné à faire des trous aux culottes.

 

* La belle-mère, cette intrigante qui nous pousse à en dire du mal pour mieux nous prendre en défaut.

 

* En vieillissant l’homme s’apprivoise. La preuve ?... Enfant on éprouve la peur du bâton, vieillard on le tient pour marcher.

 

* Le biographe est un être à l’esprit passablement malfaisant qui guette avidement le décès d’un grand homme pour finir de traiter son sujet.

 

* Certaines bouches sont de véritables égouts, il y passe tant d’ordures.

 

* Emprisonnez un poète, il ne sera jamais captif. On n’emprisonne pas un pur esprit.

 

* Les casinos sont les laboratoires où l’on élève les microbes dévoreurs de fortunes.

 

* Le cerveau, chez quantité d’individus, est une petite bille qui se promène dans une grande boîte.

 

* Je ne redoute plus d’être chrétien depuis que les lions sont dans les jardins zoologiques.

 

* Dans l’administration française, tout ce qui est clair jette un trouble.

 

* Le convive!... cet animal qui, arrivé sur ses pieds, s’assied sur son derrière pour se remplir le ventre.

 

* Les couvents sont les bergeries dans lesquelles sont élevés les moutons de Dieu.

 

* La démocratie!... Ce pouvoir qui est donné aux peuples pour leur permettre de choisir en toute liberté leurs oppresseurs.

 

* La haine possède cet avantage sur l’amour qu’elle permet de ne jamais oublier le partenaire.

 

* C’est dans les hôpitaux que se dissimulent les meilleurs talents de la haute couture.

 

* La justice refuse qu’on la critique car elle a trop peur que nos reproches se révèlent criants de vérité.

 

* Les poètes sont les amants des muses et de leurs amours naissent des vers

 

* Les femmes se placent les bigoudis sur la tête afin que leurs chiens soient frisés.

 

* La femme du boulanger n’est heureuse que lorsqu’elle s’aperçoit qu’avec son mari la baguette va croissant.

 

* Si l’on plaçait toutes les cloches dans les clochers, il y aurait beaucoup de pieds qui pendraient dans les airs.

 

* Le cœur est un écrin dans lequel se préserve l’amour.

 

* Ceux qui veulent nous faire avaler des couleuvres sont, en général, de véritables vipères.

 

* Les crapauds bavent comme les vieux mais ils sont plus alertent sur leurs pattes.

 

* Les croupiers sont les jardiniers du tapis vert puisqu’ils ne cessent de ratisser les tables.

 

* Les chefs d’Etats sont comme les trains car à chaque fois qu’ils se mettent à dérailler il se produit une catastrophe qui fait de nombreuses victimes innocentes.

 

* Les veaux sont élevés pour l’abattoir, mais les hommes alors!...

 

* Il est tout à fait normal qu'il soit interdit de chasser les faucons dès lors que nous laissons les vrais vivre en paix.

 

* Si les humains dialoguaient plus souvent avec leur conscience, le monde serait certainement meilleur.

 

Ces définitions sont extraites des ouvrages "Puisque je suis ton frère" et "Au gré du coeur - tome 1 & 2"

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